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Fiscalité des sociétés : l’impôt sur les sociétés au Luxembourg expliqués simplement (2025)

En 2025, les sociétés au Luxembourg sont soumises à l’IRC, à l’ICC, à l’impôt sur la fortune et d’autres taxes ponctuelles. Comprendre ces impositions aide à mieux planifier votre année. Un sujet un peu dense, mais essentiel !
  • Article publié par Louis Libart
  • le 8 septembre 2022
  • mis à jour le 3 juillet 2025
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reduction taxes luxembourg

Au Luxembourg, les sociétés sont soumises à différents types d’impôts. Vous en trouverez ci-dessous une brève description.

Impôt sur le revenu des collectivités (« IRC »)

L’IRC est un impôt frappant les collectivités résidentes et, dans certaines circonstances, les collectivités non-résidentes.

Depuis 2019, les taux d’imposition en matière d’IRC ont été fixés à :

  • 15% lorsque le revenu imposable ne dépasse pas EUR 175.000
  • Pour un revenu imposable entre EUR 175.000 et EUR 200.000, un mécanisme de lissage existe pour passer progressivement de15% à 17%
  • 17% lorsque le revenu imposable dépasse EUR 200.000

Ces taux sont majorés de la contribution au fonds pour l’emploi de 7%.

Les sociétés soumises à l’IRC doivent payer des avances tous les trimestres, selon les échéances fixées en mars, juin, septembre et décembre. Le montant de ces acomptes prévisionnels est fixé provisoirement d’après les derniers bulletins d’imposition émis par l’Administration des Contributions Directes.

Impôt commercial communal (« ICC »)

L’ICC est un impôt frappant uniquement le bénéfice des entreprises commerciales :

  • SA, SARL et SARL-S
  • SC : Si elles dégagent un bénéfice d’exploitation

Les sociétés soumises à l’ICC doivent payer des avances tous les trimestres, selon les échéances fixées en février, mai, aout et novembre. Le montant de ces acomptes prévisionnels est fixé provisoirement d’après les derniers bulletins d’imposition émis par l’Administration des Contributions Directes.

Impôt sur la fortune (« IF »)

L’IF est calculé sur les capitaux propres de la société et le taux est fixé à 0,5%.

Dans certaines circonstances, cet impôt peux faire l’objet d’un minimum forfaitaire.

Les sociétés soumises à l’IF doivent payer des avances tous les trimestres, selon les échéances fixées en février, mai, aout et novembre. Le montant de ces acomptes prévisionnels est fixé provisoirement d’après les derniers bulletins d’imposition émis par l’Administration des Contributions Directes.

Impôt foncier

L’impôt foncier est un impôt mis en place par les communes, qui frappe toutes les propriétés immobilières bâties ou non bâties.

Droit fixe d’enregistrement

C’est un impôt direct perçu lors :

  • de la création et de la modification de l’acte constitutif de la société
    Il est fixé à 75,00 EUR et est exigible lorsque l’acte notarié est présenté à l’enregistrement (facturé par le notaire).
  • de l’acquisition d’un local par la société
    Il est fixé à 6% du prix d’achat.
    Une taxe additionnelle de 3% du prix d’achat s’applique aux acquisitions d’immeubles classés à usage commercial, à usage mixte ou à tout autre usage s’il est situé sur la ville de Luxembourg.
 
 

Comprendre avant de déclarer

Parler d’impôt, de revenus ou d’imposition, ce n’est pas toujours ce qu’on préfère… Et pourtant, lorsqu’on gère une société au Luxembourg, impossible d’y couper. Chaque entreprise, petite ou grande, doit composer avec un système fiscal bien structuré, mais parfois un brin technique. Vous vous sentez un peu perdu face aux multiples lignes de votre déclaration ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul.

Dans ce guide, on va faire simple. L’objectif est de vous aider à mieux comprendre comment fonctionne la fiscalité luxembourgeoise pour les sociétés, sans jargon inutile. Quels sont les impôts à connaître ? À quelle fréquence faut-il payer ? Que signifient tous ces acronymes comme IRC, ICC ou encore impôt sur la fortune ? Et surtout, quelles sont les bonnes pratiques pour éviter les mauvaises surprises au fil de l’année ?

Que vous soyez en phase de création d’entreprise, en plein développement ou simplement soucieux de rester en règle avec l’administration fiscale, ce dossier vous apportera des réponses concrètes. Il s’adresse aux sociétés résidentes comme à celles qui opèrent ponctuellement dans le pays. En somme, à toutes les structures soumises à une imposition.

Car au Luxembourg, l’impôt ne se limite pas à un taux unique appliqué à votre revenu. Il y a des règles, des seuils, des mesures spécifiques selon votre forme juridique ou votre localisation. Et puis, il y a les fameuses avances trimestrielles qu’on a tendance à oublier… jusqu’à ce qu’elles tombent.

Alors prenez quelques minutes, installez-vous confortablement et faisons ensemble le tour de la fiscalité des entreprises au Luxembourg, version claire, à jour, et sans prise de tête.

1. L’impôt sur le revenu des collectivités (IRC)

Qui est concerné ?

Commençons par le plus simple : si votre société est établie au Luxembourg, vous êtes probablement concerné par l’IRC. Ce fameux impôt sur le revenu des collectivités, c’est un peu le pilier central de la fiscalité des entreprises dans le pays. Il s’applique à la plupart des structures, comme les SA, les SARL, les SARL-S… et même aux sociétés non résidentes si elles génèrent certains revenus imposables au Luxembourg.

Autrement dit, si votre activité génère un bénéfice, même modeste, il est très probable que vous soyez dans le radar de l’administration fiscale. Le but ici n’est pas de vous faire peur, mais plutôt de vous aider à bien anticiper.

Quels sont les taux d’imposition ?

Alors là, tout dépend du montant de votre revenu imposable. Le taux commence à 15 % pour les sociétés dont les bénéfices ne dépassent pas 175 000 euros. C’est déjà un bon repère. Ensuite, si vous vous situez entre 175 000 et 200 000 euros, il y a un système de lissage progressif. On passe doucement de 15 % à 17 %, histoire d’éviter un effet de seuil trop brutal.

Et au-delà de 200 000 euros ? Le taux d’imposition passe à 17 %. Mais ce n’est pas tout. Ce taux est ensuite majoré d’une contribution au fonds pour l’emploi à hauteur de 7 %. Oui, c’est un petit supplément, mais il faut l’intégrer dans vos calculs. En pratique, le taux global peut avoisiner les 18,19 %.

Cela reste compétitif comparé à d’autres régimes fiscaux européens, mais cela n’enlève rien à l’importance de bien maîtriser les chiffres dès le départ.

Quand et comment payer ?

Ah, les fameuses avances trimestrielles. Si vous débutez, cela peut surprendre. Mais oui, l’IRC ne se paie pas en une seule fois. Il faut régler des acomptes tout au long de l’année, généralement en mars, juin, septembre et décembre. Ces versements ne tombent pas du ciel, ils sont calculés à partir des derniers bulletins d’imposition que vous avez reçus.

Une petite astuce en passant : si vous savez que votre entreprise va faire un bond (ou une chute) de chiffre d’affaires cette année, prenez les devants. Il vaut mieux ajuster les acomptes en amont que de se retrouver à devoir payer un gros rattrapage plus tard. L’administration permet d’adapter le montant des avances, sur demande motivée.

En résumé, l’IRC, ce n’est pas juste un impôt. C’est un point d’ancrage dans la gestion fiscale de votre entreprise, qui demande un minimum d’anticipation. Mais avec un peu de rigueur et de bon sens, rien d’insurmontable.

2. L’impôt commercial communal (ICC)

Un impôt local… mais à ne pas prendre à la légère

Avec son nom un peu administratif, l’impôt commercial communal (ou ICC pour les intimes) pourrait presque passer inaperçu. Et pourtant, il peut représenter une part non négligeable dans les charges fiscales de votre société. Ce impôt est perçu au niveau des communes, et il vient s’ajouter à l’IRC. Il ne le remplace pas, loin de là.

Concrètement, l’ICC s’applique à certaines formes de sociétés, notamment les SA, les SARL et les SARL-S. Les sociétés coopératives (SC), quant à elles, peuvent aussi être concernées, à condition qu’elles dégagent un bénéfice d’exploitation. Autrement dit, si votre structure a une activité commerciale réelle et enregistrée, alors il y a de fortes chances qu’elle soit soumise à cet impôt.

Des échéances différentes de l’IRC

On pourrait penser que les acomptes de l’ICC suivent le même calendrier que ceux de l’IRC, mais non. Ici, les échéances tombent en février, mai, août et novembre. Oui, ça fait beaucoup de dates à retenir… mais c’est justement pour ça qu’on en parle maintenant. Ces versements anticipés sont, eux aussi, basés sur les derniers avis d’imposition émis par l’administration fiscale.

Encore une fois, ces montants sont ajustables. Si vous savez que votre activité va fortement évoluer, mieux vaut en informer les services fiscaux pour réviser les acomptes. Cela peut éviter des surprises désagréables (et des majorations inutiles) en fin d’année.

Un impôt variable selon votre commune

Et voici l’aspect le plus subtil : le taux de l’ICC n’est pas uniforme partout au Luxembourg. Il varie selon la commune où votre entreprise est établie. Certaines communes appliquent un taux plus modéré, d’autres, un peu plus corsé. Il faut donc garder à l’esprit que votre localisation peut avoir un impact direct sur votre fiscalité.

Ce n’est pas un critère à négliger lors de la création ou du déménagement de votre société. Bien sûr, ce ne doit pas être le seul facteur à prendre en compte, mais il mérite clairement sa place dans la réflexion.

L’ICC est donc une couche supplémentaire du millefeuille fiscal, mais si vous anticipez bien et restez attentif aux échéances, elle reste tout à fait gérable.

3. L’impôt sur la fortune (IF)

Un impôt discret, mais bien présent

Parmi les impôts qui concernent les sociétés au Luxembourg, l’impôt sur la fortune (ou IF) passe parfois un peu sous les radars. Et pourtant, il est là, chaque année, à sa façon. Ce n’est pas l’impôt qui vous coûtera forcément le plus cher, mais il mérite clairement qu’on s’y attarde.

Concrètement, l’IF repose sur un principe assez simple : il est calculé sur les capitaux propres de votre société. En d’autres termes, sur ce que vous possédez, et non sur ce que vous gagnez. Le taux appliqué est de 0,5 %. Cela peut paraître faible, mais si votre structure est bien capitalisée, la facture peut grimper plus vite qu’on ne le pense.

Un minimum à prévoir

Dans certaines situations, il existe un montant minimum à payer, même si votre base de calcul reste très faible. Ce minimum varie selon la nature de l’entreprise et son activité. Là encore, il vaut mieux consulter votre comptable ou fiscaliste pour connaître la règle précise qui s’applique à votre cas. On est dans une zone grise où l’interprétation de la loi fiscale peut différer selon les circonstances.

Quand doit-on s’en acquitter ?

Pas de surprise ici : les avances pour l’impôt sur la fortune suivent le même calendrier que celles de l’ICC. Les dates tombent en février, mai, août et novembre. Cela fait beaucoup de lignes dans votre calendrier de gestion, on le reconnaît. Mais une fois le rythme pris, cela devient un automatisme.

Et petite précision utile : comme pour les autres impôts, ces acomptes sont basés sur vos précédents bulletins d’imposition. Si votre montant estimé est trop éloigné de la réalité, mieux vaut agir en amont plutôt que de régler un redressement après coup.

En somme, l’IF n’est pas l’impôt le plus visible, ni le plus discuté, mais il fait partie intégrante du paysage fiscal luxembourgeois. Et comme souvent, c’est sa discrétion qui le rend parfois un peu piégeux.

4. L’impôt foncier

Posséder un bien, c’est aussi payer un impôt

On y pense parfois après coup, quand on investit dans un immeuble ou qu’on hérite d’un terrain… mais l’impôt foncier fait bel et bien partie des réalités pour les sociétés au Luxembourg. Ce n’est pas le plus complexe à comprendre, mais il peut vite peser sur votre bilan si vous détenez plusieurs biens.

Il s’applique à toute propriété immobilière, bâtie ou non. Que vous ayez un bâtiment commercial en activité ou un terrain nu en attente de projet, vous êtes dans le champ d’application. Et ce impôt est perçu au niveau communal, ce qui signifie que son poids peut varier d’une ville à l’autre.

Vous vous êtes installés à Luxembourg-ville ? Sachez que certaines communes appliquent un taux plus élevé. Ce n’est pas un hasard, mais une décision locale. D’autres communes, parfois plus rurales ou périphériques, sont un peu plus souples sur ce point. C’est donc un élément à prendre en compte dans votre stratégie d’implantation ou d’acquisition.

Un impôt moins visible, mais bien réel

Ce qui rend cet impôt un peu sournois, c’est qu’il n’est pas lié à votre activité, ni à vos revenus. Même si votre bien est vide, même s’il ne génère aucun bénéfice, l’impôt foncier s’applique quand même. C’est un peu comme une taxe de présence. Vous possédez un bien, donc vous contribuez au financement local.

Le montant varie selon la classe du bien, sa localisation, et les décisions de la commune. Là encore, les règles peuvent sembler floues au premier abord, mais les services d’enregistrement ou les agents immobiliers locaux peuvent vous guider.

Conclusion ? Même si cet impôt ne frappe pas directement votre activité commerciale, il fait partie du paysage fiscal. Et dans un contexte où l’immobilier reste un pilier d’investissement, il vaut mieux l’anticiper dès l’achat que le subir ensuite.

5. Droit d’enregistrement : les moments clés à retenir

Un passage obligé à certains tournants de la vie d’une société

Vous créez votre société ? Vous modifiez ses statuts ? Vous achetez un local ? Dans chacun de ces cas, le droit d’enregistrement entre en scène. Ce n’est pas l’impôt le plus régulier ni le plus élevé… mais il arrive souvent au mauvais moment, quand on a déjà mille choses à gérer.

Premier cas de figure : la constitution ou la modification de votre société. À ce stade, il y a un forfait fixe à régler, plutôt raisonnable : 75 euros. Rien de dramatique, surtout comparé à d’autres pays. Mais attention, ce montant est exigible immédiatement, au moment où l’acte notarié est présenté à l’enregistrement. Il est donc souvent intégré à la facture de votre notaire. Pas de surprise, mais à ne pas oublier dans votre budget de formation de société.

Acquisition immobilière : le droit grimpe vite

Autre cas beaucoup plus impactant : l’achat d’un bien immobilier. Là, on change de catégorie. Si votre société acquiert un immeuble, une taxe de 6 % du prix d’achat s’applique. Et si ce bien se trouve dans la ville de Luxembourg, ou s’il est destiné à un usage commercial, une surtaxe de 3 % vient s’ajouter. On parle donc d’un total de 9 % dans certains cas.

À ce stade, il est fortement conseillé de consulter un expert avant de signer quoi que ce soit. Une erreur d’anticipation sur cette taxe peut vraiment faire dérailler un budget d’investissement. D’autant plus que cette dépense est immédiate. On ne la lisse pas sur plusieurs mois, on la paie au moment de l’acquisition.

Un impôt ponctuel, mais à fort impact

Ce droit n’est donc pas à verser chaque année, mais il reste un élément clé du régime fiscal luxembourgeois. Il reflète une logique simple : chaque grande étape de la vie d’une société (création, transformation, acquisition) entraîne une contribution au système fiscal. Et cela fait partie du jeu.

Le tout est de ne pas le découvrir après coup. Si vous anticipez bien ces moments-là, vous éviterez les mauvaises surprises. Et surtout, vous intégrerez ces montants dès le départ dans votre plan de financement.

6. À quoi s’attendre en 2025 ?

Pas de grande révolution, mais des détails à surveiller

Quand on parle de fiscalité, la question revient souvent : « Et cette année, est-ce que ça change ? ». En 2025, il n’y a pas eu de réforme spectaculaire du côté des sociétés au Luxembourg. Les grands taux d’imposition restent stables, l’IRC, l’ICC, l’impôt sur la fortune et les autres contributions habituelles continuent de s’appliquer comme les années précédentes.

Mais attention, qui dit pas de changement visible ne veut pas dire qu’il ne se passe rien. La fiscalité luxembourgeoise évolue souvent par petites touches : circulaires, précisions d’interprétation, ajustements de seuils… des détails qui peuvent avoir un vrai impact sur votre déclaration si vous n’y prenez pas garde.

Une vigilance à garder sur la TVA et les exonérations

Même si la TVA n’est pas traitée en détail dans cet article, elle reste un point clé pour de nombreuses entreprises. En 2025, aucune modification majeure du régime n’a été annoncée, mais les contrôles, eux, deviennent de plus en plus fréquents. Il est donc plus que jamais recommandé de garder une comptabilité claire et à jour.

Quant aux dispositifs d’exonération ou d’aide fiscale, certains restent en vigueur, mais leur accès peut être plus encadré qu’avant. Là encore, se renseigner auprès d’un conseiller ou des services de l’administration fiscale peut faire la différence entre une dépense évitable et une opportunité ratée.

En résumé, 2025 reste une année de stabilité… apparente

Ce calme relatif est une bonne nouvelle pour anticiper vos budgets, mais il ne faut pas s’endormir pour autant. Car dans le cours des mois, des évolutions peuvent surgir. Une mise à jour réglementaire, une nouvelle obligation déclarative, une redéfinition d’une classe fiscale… Le Luxembourg reste attentif aux directives européennes et aux enjeux de transparence fiscale. Cela peut se traduire par des ajustements techniques à venir.

Mon conseil ? Restez à l’écoute, vérifiez vos sources, et n’hésitez pas à poser des questions. En fiscalité, mieux vaut demander deux fois que de corriger après.

FAQ – Les questions que tout le monde se pose (ou presque)

Quels sont les impôts que doit payer une SARL au Luxembourg ?

Bonne question. Une SARL classique est généralement concernée par l’IRC, l’ICC, l’impôt sur la fortune et parfois l’impôt foncier si elle détient de l’immobilier. Et n’oublions pas la TVA si elle est assujettie. Ça fait beaucoup, mais chaque impôt a ses propres règles et ses propres échéances. Une fois le rythme pris, ça roule.

Est-ce que l’IRC remplace l’ICC ?

Non, ce sont deux impôts bien distincts. L’IRC est un impôt d’État, tandis que l’ICC est communal. Ils peuvent s’appliquer en même temps, selon la nature de votre activité. Donc attention à ne pas en oublier un sur votre déclaration.

Peut-on bénéficier d’exonérations fiscales ?

Oui, dans certains cas, mais ce n’est jamais automatique. Il existe des dispositifs d’exonération selon l’activité, la zone d’implantation ou encore la nature de l’investissement. Mais les conditions peuvent changer d’année en année, et chaque demande doit être bien documentée. Mieux vaut se faire accompagner si vous pensez être éligible.

Comment est déterminé le montant des acomptes trimestriels ?

Les montants des avances sont généralement calculés sur la base de votre dernière imposition. Si votre activité évolue, il est possible de demander une adaptation en cours d’année. Cela demande un peu d’anticipation, mais ça peut éviter un gros rattrapage plus tard.

Que se passe-t-il si je ne paie pas à temps ?

Comme souvent avec l’administration, il y a des majorations, des pénalités, voire des rappels en bonne et due forme. Ce n’est jamais agréable, surtout quand c’est évitable. Mon conseil ? Notez bien les dates dans votre agenda, ou utilisez un outil de gestion qui vous alerte automatiquement.

Où trouver les bulletins d’imposition de référence ?

Ils sont émis par l’Administration des Contributions Directes et vous sont généralement envoyés par courrier ou disponibles via MyGuichet.lu. Si vous avez un doute, votre comptable saura aussi où les récupérer. Ne laissez pas traîner, car c’est sur cette base que tout le reste est calculé.

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Louis Libart

Fondateur et Expert-Comptable BVZ Luxembourg

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